1/4 de finale

A Anfield, Liverpool (j'espère!) ne jouera pas comme à l'Emirates, càd que les Reds devraient adopter une attitude plus offensive. Ce qui créera des espaces, et enfin Arsenal pourra développer son jeu. Et là, on peut faire très très mal.

Superbe opération, on a vu des battants hier soir, très bon replacement défensif. Ca a qques lachés, mais sans grave conséquance, la preuve : 1-1 !

Ca va pas être pareil à Anfield ds une ambiance de feu !

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Barcelone a tenu bon
Eurosport - Jean TERZIAN

Après avoir ouvert la marque, grâce au premier but en Ligue des Champions de Bojan, et dominé la première période, le FC Barcelone a su résister au réveil de Schalke 04 pour s'y imposer (0-1), mardi en quart de finale aller. Les Catalans ont donc pris une option sur les demi-finales.

SCHALKE 04 - FC BARCELONE : 0-1
But : Bojan (12e)

Barcelone a su résister à la pression. Celle du résultat, aussi bien pour nourrir l'appétit des socios que son propre espoir de soulever un titre en fin de saison. Et celle de Schalke 04, hôte très timide en première période avant de montrer un visage plus conquérant, au fur et à mesure que le couperet pointait le bout de sa lame.

Avec cette précieuse victoire à l'extérieur 0-1), les Catalans respirent mieux et se rapprochent du dernier carré de la compétition, dont il faudra valider l'accès dans huit jours au Camp Nou. Sans Puyol, averti dans les arrêts de jeu du match et suspendu pour le match retour, mais avec un regain de confiance sur son jeu et sa capacité à défendre en bloc pour tenir un résultat.

C'est seulement la deuxième fois en onze matches, toutes compétitions confondues, que le Barça n'encaisse pas de but*. De là à dire que la copie du club blaugrana était de nature suffisante à lui dérouler le tapis rouge vers les demi-finales...



Les troupes de Frank Rijkaard ont eu le mérite d'imposer rapidement leur patte sur le match, et de ne pas rater l'occasion qui se présentait à eux d'ouvrir le score. Après avoir buté sur Neuer (7e), Iniesta a parfaitement mis Henry sur orbite, qui n'a trouvé que les gants du portier allemand, pas vraiment fermes puisque le Français a eu une seconde chance et servi Bojan (0-1, 12e).

L'Espagnol de 17 ans a inscrit là son premier pion en Ligue des Champions, dont il devient le deuxième plus jeune buteur. Une première que Bojan pourra garder en mémoire, le succès ayant en plus été au bout. Le premier quart de finale de C1 depuis la saison 1958/1959, Schalke 04 ne devrait pas en conserver un souvenir impérissable. Ses regrets sont d'autant plus importants que la maîtrise de Barcelone n'a souvent été que le reflet de ses propres lacunes.

Schalke n'a joué qu'une demi-heure
Comme à Porto en huitième de finale retour, les joueurs de Geselkirchen ont souvent été absents à la construction. À ce manque de créativité s'est ajouté un impact physique défaillant, même si Kuranyi a tenté de peser sur la défense catalane.

L'ancien de Stuttgart a rarement été servi dans de bonnes conditions, ratant de quelques centimètres la balle de l'égalisation (20e). Quelques centimètres, c'est aussi ce qu'il a manqué, dans une dernière demi-heure enfin de qualité de la part des Allemands, à Asamoah (70e) et Sanchez (71e). Entré à la place de Kuranyi (60e), le second nommé a évolué dans un registre différent mais beaucoup plus utile à Schalke, en servant de piston entre les lignes.

Au lieu de se dérouler dans le camp allemand, les débats se sont alors souvent tenus dans la moitié de terrain barcelonaise.

Privés du ballon, les Catalans ont donc su être habiles dans un domaine qui ne leur plaît guère : défendre devant leur seize mètres, ou à l'intérieur. Parfois en frôlant la légalité sur des interventions hasardeuses d'Abidal.

"On a fait une belle deuxième période, avec beaucoup plus de pression, beaucoup plus de ballons vers l'avant, analyse Mirko Slomka. Je crois qu'on aurait pu avoir un penalty en notre faveur pour une faute sur Westermann".

Au lieu de cela, ses hommes ont ensuite perdu leurs nerfs, rendant stériles les derniers instants de la rencontre, hormis sur une tête de Larsen, éloignée par une belle claquette de Valdes, redevenu décisif (90e+2). "À 2-0, cela aurait été différent, poursuit l'entraîneur de Schalke. Là, il faut y croire, d'autant qu'on va récupérer Jermaine Jones (suspendu mardi soir)". La foi, Slomka et ses hommes l'ont peut-être un peu trop tard.

LA DECLA : Gerald Asamoah (Schalke 04)
"On n'a pas exercé assez de pression en première période, on a leur a montré trop de respect. En seconde période, c'était mieux, on les a bousculés, mais on n'a pas réussi à marquer malgré nos quelques occasions. On ne peut que s'en prendre à nous-mêmes, il faudra réaliser un exploit à Barcelone, mais il faut y croire".

*Barcelone a encaissé un but lors de ses huit derniers matches de championnat. Sa défense était seulement restée imperméable contre Glasgow, en huitième de finale retour.

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Manchester, l'épouvantail
Eurosport - Maxime DUPUIS


A Rome (0-2) en quart de finale aller de la Ligue des Champions, Manchester United a démontré une nouvelle fois, et dans un style différent, qu'il avait une longueur d'avance sur la concurrence. Si bien que l'on se demande qui pourra arrêter les Red Devils cette saison sur le front européen.

Si la Ligue des Champions se cherchait un favori, elle l'a sans doute trouvé du côté de Rome mardi soir, lors d'un quart de finale aller qui a vu Manchester United prendre une très sérieuse option sur sa présence dans le dernier carré de la compétition. Les Anglais sont allés s'imposer 2-0 face à une équipe romaine certes privée de Francesco Totti mais qui, malgré toute la bonne volonté du monde, n'avait pas les armes pour faire trébucher le leader de la Premier League.



La performance de Manchester United est d'autant plus remarquable que mardi soir MU n'a pas fait du MU. Ayant troqué leur tunique rouge pour un maillot blanc, les joueurs de Sir Alex Ferguson ont également échangé leur flamboyance habituelle et leur jeu offensif pour une prestation tout en retenue.

Tout en maîtrise. Durant une bonne partie du match, les coéquipiers de Rio Ferdinand ont assuré l'essentiel : tenir les débats et mettre à mal les velléités offensives adverses. Sans jamais trembler. Et sur deux actions, les doubles vainqueurs de la C1 (1968, 1999) ont fait parler un froid réalisme déjà entrevu au tour précédent face à l'Olympique Lyonnais (1-1, 1-0).

Sauf accident, Manchester United sera donc en demi-finale de la Ligue des Champions. Statistiquement, la probabilité de voir les Anglais au tour suivant est de 97%. De quoi ravir Patrice Evra, encore une fois très bon mardi soir.

"On a peut-être eu l'impression que c'était facile, mais c'est beaucoup de travail derrière. En Europe, je crois qu'on a la meilleure défense, c'est bien aussi de le souligner. On était extrêmement concentré sur tous les aspects du jeu de la Roma. L'équipe est à maturité, cela fait deux ans qu'on joue ensemble." Plus que l'équipe, le Français peut même étendre ses compliments à l'ensemble du groupe mancunien.

Qui peut arrêter Manchester ?
Au stade Olympique de Rome, Sir Alex Ferguson a mis sur le pré un onze quelque peu remanié et sans doute pas celui qu'avait imaginé Luciano Spalletti avant la rencontre. Le manager écossais avait laissé Ryan Giggs sur le banc, titularisé Ji Sung Park dans le couloir droit tandis que Wayne Rooney évoluait à gauche et Cristiano Ronaldo s'occupait de la pointe de l'attaque.

Un pari tactique qui s'est avéré payant et qui prouve, s'il le fallait encore, que MU a une longueur d'avance sur la concurrence. "Cristiano Ronaldo n'a pas joué souvent au centre de l'attaque, a reconnu Ferguson. C'était le cas contre Portsmouth et il avait déjà marqué deux fois. De toute façon, il peut jouer à tous les postes en attaque." Avec un tel joueur, les Red Devils peuvent voir loin. Très loin.

Eliminés la saison dernière en demi-finale par l'implacable Milan AC, les pensionnaires d'Old Trafford peuvent se rassurer. Milan l'empêcheur de tourner en rond n'est plus là. Dès lors, on peut se demander qui pourra stopper l'inéluctable marche en avant du club de Malcolm Glazer.

Barcelone, que MU devrait retrouver au prochain tour ? Pour le moment, cela semble impossible. Les Blaugrana sont bien trop inconstants alors que Manchester brille par sa régularité dans la performance. Chelsea (qui est favori face à Fenerbahçe), Arsenal ou Liverpool ? Les Red Devils ont globalement la main sur eux en Premier League (ndlr : Manchester n'a perdu aucun match cette saison contre ces trois adversaires).

Il n'y a pas de raison que cela soit différent sur le front européen. Après Wembley en 1968, Barcelone en 1999, Moscou a toutes les chances d'être le théâtre d'un troisième succès mancunien en C1. Le théâtre des rêves bien évidemment.

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Chelsea se fait surprendre
Eurosport - Vincent PERE-LAHAILLE


Alors qu'il menait à la pause, Chelsea s'est incliné à Fenerbahçe (2-1) en quart de finale aller de la Ligue des Champions. Les Londoniens peuvent nourrir de gros regrets mais conservent, grâce à ce but inscrit à l'extérieur, toute leur chance lors du match retour à Stamford Bridge.

Invaincus en Ligue des champions cette année, les Blues de Chelsea se rendaient sur les rives du Bosphore habités d"une grande confiance avant le coup d"envoi de ce quart de finale aller.

Désormais deuxièmes de la Premier League, à cinq points des Red Devils de Manchester, les Londoniens restaient sur quatre victoires et un nul en Championnat avant d"affronter les Turcs de Fenerbahçe. Pour cette première entre les deux clubs, les Anglais pouvaient compter sur leur buteur providentiel, Didier Drogba, longtemps incertain en raison d'une entorse à la cheville gauche contracté dimanche dernier contre Middlesbrough.

Meilleure défense de cette édition 2007-2008, avec seulement deux buts encaissés en neuf rencontres, les protégés d'Avram Grant se présentent donc pour la cinquième fois consécutive à ce stade de la compétition alors qu'il s'agit d'une première dans l'histoire du club stambouliote, privé pour cette rencontre de Roberto Carlos, encore convalescent. Mais les Turcs ne craignent personne dans leur antre du stade Sükrü Saraçoglu où ils ont déjà fait chuter l'Inter Milan, le PSV Eindhoven, le CSKA Moscou et plus récemment les Espagnols du FC Séville en huitièmes de finale.

Dans une ambiance surchauffée par les 50 000 supporters du "Fener", les Blues prennent pourtant le meilleur départ avec Florent Malouda, finalement préféré à Salomon Kalou, et Michaël Essien, titulaire en position de latéral droit. Complètement acculés dans leur moitié de terrain, les Turcs ne parviennent pas à contenir la vivacité de Didier Drogba et de Joe Cole.

Les Blues concrétisent alors leur large domination après un bon travail de Malouda sur le côté gauche. L'ancien Lyonnais percute dans les dix-huit mètres et adresse un centre en retrait... dévié par Deivid dans son propre but (13e csc).

Deivid se fait justice
Cinq minutes plus tard, c'est encore un ancien Gones qui se met en évidence. Essien percute dans l'axe et prend sa chance de trente mètres, mais la frappe flottante de l'international ghanéen vient heurter le haut de la transversale de Volkan (18e). Au terme d'un premier acte à sens unique où les Anglais ont affiché toute leur maîtrise tactique, Fernerbahçe est heureux d'arriver à la pause avec un seul but de retard.

Plus entreprenants dès la reprise, les anciens partenaires de Nicolas Anelka haussent leur niveau de jeu et obligent le bloc londonien à reculer. Les Stambouliotes sont récompensés à la 65e minute et profitent de l'attentisme de la défense des Blues. Magnifiquement lancé dans la profondeur par Mehmet Aurelio, Kazim prend de vitesse Ricardo Carvalho et ajuste Cudicini d'une demi-volée puissante du gauche. Sur le coup d'envoi, Michaël Ballack se retrouve seul au point de penalty mais le milieu de terrain allemand manque de lucidité et perd son face à face avec Volkan (66e).

La fin de match est alors toute acquise aux Stambouliotes qui ne cessent de presser une formation anglaise désunie et trompent de nouveau la vigilance de leurs adversaires sur une réalisation magistrale de Deivid (81e). L'ancien attaquant des Girondins, coupable sur le but des Blues, se fait justice et décoche un missile de trente mètres, pleine lucarne, qui donne un avantage définitif aux Turcs.

Chelsea peut donc nourrir de gros regrets compte tenu de sa première période dense mais conserve, grâce à ce but si précieux inscrit à l'extérieur, toutes ses chances lors du match retour, mardi prochain, à Stamford Bridge.

LA DECLA : Michael Ballack (milieu de terrain de Chelsea)
"Nous sommes très déçus. Lors de la 1re période, nous avons contrôlé le match mais nous leur avons donné une chance de revenir. Nous avions une bonne opportunité de gagner ici. Même après le 1-1, nous avons eu deux grosses occasions, Didier (Drogba) et moi, de marquer un deuxième but. Mais nous n'avons pas été assez concentrés. Il faudra repartir au combat la semaine prochaine. C'est notre faute, le match était entre nos mains. Nous l'avons offert. Un long ballon a changé la donne, ensuite il y a eu cette frappe fantastique de 25 mètres. Nous sommes assez forts à domicile mais nous devrons être concentrés pendant 90 minutes. Après le but du 1-0, Fenerbahce a pris beaucoup de risques et a attaqué à sept ou huit. Ils ont montré contre le FC Séville (ndlr: en 8e de finale) qu'ils pouvaient marquer à l'extérieur".

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Tout reste à faire
Eurosport - Flavien CHAILLEUX


A l'Emirates Stadium, Arsenal a été tenu échec par Liverpool (1-1) en quart de finale aller de la Ligue des Champions. Les Reds ont toutefois pris un léger avantage grâce à la règle du but à l'extérieur, avant la seconde manche disputée à Anfield dans six jours. Les Gunners peuvent des regrets...

ARSENAL - LIVERPOOL : 1-1
Buts: Adebayor (23e) pour Arsenal et Kuyt (26e) pour Liverpool

Gunners et Reds ont dû attendre leur 200e confrontation pour se croiser en Coupe d'Europe. Habitués à croiser le fer lors des joutes nationales, les deux équipes devaient cette fois se départager dans une double confrontation dans le cadre prestigieux d'un quart de finale de Ligue des Champions.

Et à ce petit jeu, Liverpool a pris une option vers la qualification grâce à son but marqué à l'extérieur en alternant maîtrise et sueurs froides au cours d'un match rythmé.

L'ouverture des débats laissait pourtant présager une bataille tactique entre deux équipes anglaises à la forte connotation latine. En terme de stratégie, Rafael Benitez voyait encore juste en compétition continentale en trouvant la recette du bon résultat en proposant une formation en 4-5-1 autour de Fernando Torres, seul en pointe.

Un dispositif qui posa d'innombrables soucis à Arsenal, ne parvenant à faire sauter le verrou des Reds que par à-coups. Pourtant, c'est bien l'équipe d'Arsène Wenger qui lançait les premiers assauts. Lancé en profondeur par Flamini, Van Persie plaçait sa reprise juste au dessus de la transversale (21e). Un signe annonciateur.

La maîtrise de Liverpool
Car peu après, les locaux trouvaient la faille. A la réception d'un corner joué à la rémoise entre Fabregas et Van Persie, Adebayor smashait sa tête au fond des filets de Reina, impuissant (23e, 1-0).

Un but typique du Togolais marquant ainsi le premier but de sa carrière face à Liverpool en démontrant toutes ses qualités aériennes. En position idéale au tableau d'affichage, Arsenal manquait de lucidité dès les minutes suivantes pour préserver son ouverture du score qui aurait pu, dû, être déterminante. Mais au lieu de resserrer les vis, les hommes d'Arsène Wenger lâchaient prise.

Trois minutes plus tard, Gerrard élimina Touré et Eboué pour placer un centre-tir devant les cages d'Almunia dévié dans le but par Clichy - malgré lui - face à la pression de Kuyt (26e, 1-1).

A 1-1, Liverpool faisait de nouveau l'étalage de son aptitude à gérer le score, un visage déjà aperçu à Milan lors du tour précédent. Babel mettait même Almunia à contribution sur une frappe écrasée aux 20 mètres (33e) au même titre que Kuyt, obligeant le portier espagnol à un arrêt en deux temps (48e).

Entre temps, Wenger avait choisi de dynamiser son équipe en changeant de cartouche offensive, sortant Van Persie à la pause au profit de l'explosivité de Walcott. Un choix payant puisque le prodige anglais, en électron libre, bousculait la défense adverse. Il frôla même le cadre en expédiant un tir du droit au ras du montant gauche de Reina (55e).

Quand Bendtner sauve Liverpool...
Dès lors, la partie vira à un récital d'Arsenal, totalement maître du ballon en seconde période. Eboué (66e) et Fabregas (69e) maintenaient la pression sur les cages de Reina. Mais ce dernier allait surtout remercier Bendtner, qui, quelques minutes plus tard, suppléait maladroitement le portier espagnol en repoussant sur la ligne un tir de Fabregas qui filait pourtant au fond des filets ! (71e) Arsenal n'était pas verni.

L'équipe locale ne l'était guère davantage lorsque M. Vink oubliait un penalty évident après une obstruction dans la surface de Kuyt sur Hleb (67e).

Gallas et ses coéquipiers ne concrétisaient pas leur temps fort et perdaient le fil du match, cédant ainsi de nouveau la gestion du score à Liverpool dans le dernier quart d'heure. Et ce, malgré une ultime tentative de Fabregas (90e+1). Par conséquent, six jours avant la seconde manche à Anfield, Arsenal se retrouve en position inconfortable.

En concédant un but à domicile, les Gunners sont désormais contraints de passer la vitesse supérieure face à un Liverpool réputé pour être redoutable lorsqu'il s'agit de garder un résultat. Le rendez-vous est déjà pris.

LA DECLA : Arsène Wenger (entraîneur d'Arsenal)
"Nous ne sommes pas bien payés pour ce que nous avons montré. Finir à 1-1, c'est décevant. Mais nous avons livré le match que nous voulions. Liverpool a très peu créé. On a manqué de chance dans plusieurs circonstances. Quand Bendtner a touché le ballon alors qu'il rentrait dans le but, quand un pénalty évident n'a pas été signé... L'arbitre était à cinq mètres de Kuyt, par coïncidence, et n'a pas donné de pénalty. C'est difficile à comprendre pour être honnête. Liverpool a bien défendu. Cela a été difficile de trouver des espaces. On a essayé de se créer des occasions. Dans un match comme ça, on ne s'en procure jamais vingt, mais quatre ou cinq. On les a eues"

J'ai confondu Brendtner et Hleb, je trouve qu'ils ont des visages assez commun, mes excuses.

Oui il l'arrête sur la ligne de but. De la malchance ? Surtout un manque d'instinct du tueur, c'est une grave erreur de la toucher car en plus il ne peux être sûr s'il n'est pas H-J et puis il est en bien mauvaise position pour frapper.

Joga Bonito a écrit:

Jaybee a écrit:

ça aussi j'ai du mal à digérer.

Marquer des buts ça fait parti du foot, si le score est égal, peut importe le nombre d'occasions, c'est juste.

L'équipe qui a généré le moins d'occasion a au moins le mérite de faire preuse de réalisme, quant à Arsenal, ils ont bien contrôlé le jeu, mais plusieurs ont été maladroit, comme Hleb, et puis Reina a été solide.

Reina a rien fait....on a été maladroit...et on a gaspiller nos chances...c'est tout!...le centre qui a faillit donner a un but mais Bendtner qui l'arrete sur la ligne c'est de la malchance...et Hleb, c'etait un peno ...Kuyt est a droite de Hleb et il lui tire le bras....si c'est pas faute ca!...

Jaybee a écrit:

Liverpool qui marque sur une de leur seule vraie occasion, ça aussi j'ai du mal à digérer.

Marquer des buts ça fait parti du foot, si le score est égal, peut importe le nombre d'occasions, c'est juste.

L'équipe qui a généré le moins d'occasion a au moins le mérite de faire preuse de réalisme, quant à Arsenal, ils ont bien contrôlé le jeu, mais plusieurs ont été maladroit, comme Hleb, et puis Reina a été solide.

quels buts de Fener'....vraiment beau les 2!!

sinon...Arsenal aurait merité plus

Toi qui a vu le match (et pas moi comme sa passait pas et le stream non plus...), peux-tu me faire une analyse perso sur les joueurs ?

Anelka est rentré a la 86 eme minutes....
Sinon coup de gueule contre Drogba, il est certe un joueur exta qui nous a souvent sortir de la galere encore contre Arsenal il y a 2 semaines mais il veut trop en faire... beaucoup trop
Jai regarder le match de se soir , c'est pas dur des qu'il avait le ballon il cherche pas il partait seul et frapper meme quand d'autre solution se proposé a lui, et ne parlons pas des coups francs dangereux... on sais qu'on a Ballack et Lampard sont tous les deux d'exellent tireur de coup franc et depuis quelques mois Drogba n'en laisse pas un pour voir toujours le meme résultat : A coté ou au dessus!

Arsenal méritait la victoire, le péno non-sifflé me reste en travers de la gorge ...
Liverpool qui marque sur une de leur seule vraie occasion, ça aussi j'ai du mal à digérer.

Faudra aller se qualifier à Anfield, les Gunners en sont capables ! Come On !!

Excellent résultat de Liverpool à l'extérieur, même si Arsenal a dominé.

Eh beh Liverpool c'etait limite... Un match nul plutôt arrangeant mais le retour sera pas facile...

2-1, Anelka et Swp sont pas rentrés......

Grant tu vas sortir...

1-1, Colin Kazim Rochards égalise... Et dire qu'on menait bien...

But de Kuyt sur une superbe action Torres-Gerrard !

Gros arrêt de Reina sur van Persie.

EDIT : But d'Adebayor de la tête sur le corner suivant ...

Centre de Malouda, tu peux pas test.

C'est terrible qu'un attaquant marque contre son camp.

Et buuuuuuuuuuuuuuuuuuut !

Deivid CSC !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :content: :content:

Seulement que 2 Anglais d'aligné pour le match Arsenal-Liverpool, tout 2 du côté du LFC et pas des moindres; Gerrard et Carragher.

L'équipe de Chelsea!

Cudicini ; Essien ; Carvalho ; Terry ; A.Cole ; Makelele ; Lampard ; Ballack ; J.Cole ; Malouda ; Drogba

J'aurais probablement changé Babbel pour Benayoun ou Voronin mais sinon c'est logique.